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19/12/2017


Encaissement Vendeurs , faisons le point !

Dans cette période de fin d’année essentielle pour notre entreprise, nous observons que de nombreux Ru pensent encore que l’encaissement vendeurs est une obligation du moment où l’étiquetage informatique et que les formations ont été faits.

Bien évidemment aucun écrit sur le volontariat du personnel vendeurs n’est demandé…

De plus, imposer cela en période forte est un non-sens économique.

Nos vendeurs doivent avant tout vendre, vendre et vendre !

Pour l’entreprise, pour le back office et bien sûr pour eux !

Un petit rappel de l’histoire « encaissement vendeur » semble nécessaire.

Au commencement la direction a proposé un accord d’entreprise qui s’intitulait « filière Vendeur», tout un programme.

Après de houleuses tentatives de négociations, avec aucune contrepartie pour les vendeurs du temps passé à cette nouvelle tâche, est en plus un risque évident de concurrence pour la population CSC et HC, seul un syndicat a signé cet accord.

La CGT, suivie par FO et la CFDT, ont contesté l’accord signé le rendant ainsi inapplicable.

La direction a pris acte, et a quand même maintenu le dispositif concernant l’encaissement vendeur.

Nous vous rappelons ici, avec un extrait du CCE du 18 Novembre 2016, pour lequel le DRH de l’époque Monsieur Hervé Boisse indique clairement et officiellement :

« Hervé BOISSE : Ce n’est que les moyens dématérialisés qui feront l’objet d’un encaissement vendeur, sur la base du volontariat »

Dans ce cadre, la base du volontariat pour l’encaissement vendeur reste la règle.

Si vous êtes vendeur et que l’encaissement devient pour votre quotidien une pression supplémentaire en terme d’objectifs à atteindre, sachez que cela n’est pas de la volonté de l’entreprise.

Alors remontez nous l’information, afin que la direction puisse informer les encadrants sur la » bonne méthode »


                                                                                    Jean Luc Racine,

                                                Délégué Syndical Central CGT UES BOULANGER

 

06/12/2017


Courrier remis en mains propres contre décharge pour la DRH Boulanger


Madame La Directrice,

Nous sommes entrés dans une phase déterminante, en cette fin d’année, pour l’entreprise Boulanger, au même titre que ses collaborateurs, à titre personnel et professionnel. La CGT a pu tout au long de l’année établir des discussions avec l’ensemble des dirigeants de l’entreprise, dans le souci d’un dialogue social constructif mais avec les objectifs permanents de l’amélioration des conditions de travail, de la rémunération et du bien-être de l’ensemble des salariés Boulanger et de ses filiales.

Nous souhaitons, à l’issue de ces échanges vous exprimer notre avis sur un certain nombre de points, voire, vous alerter sur d’autres :

S’agissant des élections professionnelles qui interviendront chez Boulanger en 2018, nous avons rappelé à l’ensemble des Directeurs Régionaux rencontrés, qu’un message de respect de notre organisation syndicale et de parfaite impartialité devait être relayé auprès des encadrants de l’ensemble des sites Boulanger à l’occasion de ces futures échéances électorales. Celles-ci revêtent un caractère crucial pour le respect de notre action et pour les salariés qui nous font confiance. Nous avons exprimé clairement, également, qu’à l’occasion de chaque cas éventuel qui serait constaté de discrimination envers notre syndicat ou de partialité manifeste voire d’ingérence, nous n’hésiterons pas à engager une procédure pénale à l’encontre du dirigeant se rendant fautif de ce type d’irrégularité. Nous comptons sur votre clairvoyance également pour que la qualité du dialogue social construit de part et d’autre, soit assortie d’une stricte neutralité de l’ensemble de la Direction à l’occasion de ces échéances électorales 2018. Nous tenons à préciser néanmoins que les irrégularités constatées par le passé, en terme de discrimination syndicale ou de partialité, dont aurait été victime notre syndicat, n’ont été l’œuvre que d’une poignée d’encadrants irrespectueux. Mais même si le nombre est parfois marginal, il reste pour autant inacceptable.

Concernant les équipes de livraison, la CGT a exprimé le souhait que celles-ci soient renforcées afin de pallier au développement divers de l’offre de livraison proposée aux clients de Boulanger. Nous demandons également que sur chaque site Boulanger, existant ou à venir, il existe au moins une équipe minimum de livreurs internes Boulanger, afin d’offrir la meilleure qualité de service aux clients, et de créer ou sauvegarder l’emploi. Enfin, nous avons réclamé une certaine clémence des dirigeants de chaque magasin à l’encontre des équipes de livraison, car nous avons pu constater cette année une exigence particulièrement élevée à l’encontre de cette catégorie de personnel, et surtout peu de place laissée à l’erreur somme toute possible dans ce service comme dans d’autres.

Par ailleurs, nous constatons toujours un effectif souvent restreint pour les Equipiers Clients, alors même que leur charge de travail s’alourdit. De trop grands écarts sont constatés selon les sites, nous demandons donc qu’un examen attentif soit réalisé par les RRH de chaque région pour, le cas échéant, ajuster à la hausse les effectifs concernés.

Nous sommes également au regret de constater que certains Directeurs de magasins ou responsables de service, limitent le nombre de départ en congés de salariés CSC/HC et CS à 2, alors même que l’accord d’entreprise CSC, signé par la CGT, prévoit une meilleure fluidité des services Après-Vente et pôle Caisse, il prévoit également que le ‘’ Directeur du magasin s’assurera que la mise en œuvre des plannings, la gestion des demandes d’absence et la conduite des entretiens d’activité soient réalisées dans l’intérêt et le bien-être des collaborateurs’’… Dans ce cadre, nous demandons que l’esprit de cet accord d’entreprise soit respecté, en permettant aux salariés des opportunités de prises de congés acceptables, et non des contraintes. De plus, il nous arrive encore de rencontrer des CSC qui n’ont toujours pas obtenu leur augmentation de qualification, malgré les dispositions inscrites dans l’accord d’entreprise.


S’agissant des vendeurs, nous sommes au regret de constater des problématiques chroniques qui ne trouvent pas de solutions favorables à cette catégorie de personnel au fil des années. Primes à variation ou montant incohérents, Obligation d’encaisser les achats des clients, appréciation hiérarchique différente d’un établissement à un autre sur les tâches liées à la mise en rayon de certains produits…


Une négociation d’un nouvel accord d’entreprise des Techniciens Magasins a débuté. Néanmoins, la CGT regrette que la prime NPS Back Office n’ait pas été étendue à cette catégorie de personnel. Non seulement, cela crée une certaine discrimination par rapport à leurs collègues, parfois même du même service, comme les Conseillers Service, ou Conseillers Service Clients. De plus, il est intolérable que la décision finale des Organisations Syndicales quant à une éventuelle ratification de cet accord d’entreprise, soit dépendante de l’obtention de cette prime pour les Techniciens. Car d’après nos échanges lors de la NAO 2017, et lors de la négociation de l’accord d’entreprise sur les Equipiers Clients, la DRH de l’époque nous a laissé entendre que la prime NPS Back Office pourrait être accordé également aux techniciens selon des dispositions inscrites dans le futur accord correspondant à cette catégorie de collaborateurs. Nous souhaitons donc, que cette prime soit versée au même titre que pour le reste du personnel du Back Office, avec effet rétro-actif à sa mise en place initiale. Ainsi les négociations pourront se poursuivre.


Par ailleurs, la CGT déplore que les projets et décisions de la Direction de l’entreprise ne soient que peu ou pas relayés sur le terrain, la montée en puissance de l’entreprise s’assortit de nombre d’exigences plus importantes pour les salariés. Comportement sans faille, charge de travail accrue, postes en flux tendu qui ont rapidement été mis en pratique… Par contre, « le monde plus soft, l’aventure humaine, la formation 3.0 » restent lettres mortes. Ce n’est pas acceptable ! Nous attendons que vous preniez rapidement les mesures qui s’imposent. L’entreprise est exigeante soit, qu’elle le soit tout autant avec la mise en œuvre de l’ensemble de ses stratégies.

Nous rencontrons trop souvent encore des salariés qui sont mal traités, mal informés simplement par manque de connaissance, d’empathie, ou de bienveillance.


De façon plus générale, il est devenu quasiment impossible pour un salarié d’assimiler parfaitement les lignes identifiées sur les bulletins de salaire. Nous souhaitons que chaque collaborateur puisse obtenir des explications sur des incompréhensions ou des anomalies constatées sur sa fiche de paye.


Vous remerciant d’avance, de l’intérêt que vous porterez à notre courrier, je vous prie de croire, Madame La Directrice, en l’expression de mes sentiments respectueux.



                                                                                                                Jean Luc Racine,

                                                                Délégué Syndical Central CGT UES BOULANGER

 

28 Novembre  2017


 Quand les primes fondent comme neige au soleil!


 

Et non, ce n’est pas le réchauffement climatique qui fait fondre les primes vendeurs dans la période de noël, mais plutôt l’effet du nouvel accord Rem vendeurs appliqué depuis 2016 et qui est dans la continuité de celui de 2006.

Pour rappel, la CGT n’a jamais signé ces accords, en raison d’une volatilité des montants de primes incompréhensibles et uniquement décidés unilatéralement par la direction.

La CGT a toujours souhaité un pilotage des primes compris par les vendeurs, basé uniquement sur deux critères de variations : le prix et la marge.

A ce sujet, la CGT a souhaité maintenir coûte que coûte la commission de suivi de la rem vendeur prévue le 22 décembre et a refusé catégoriquement que celle-ci soit reportée en Janvier 2018 au regard de la situation urgente.

15 Novembre  2017


Quand les CP deviennent un luxe inaccessible…

CGT BOULANGER·VENDREDI 3 NOVEMBRE 201750 lectures

 La CGT boulanger alerte la direction sur une dérive inquiétante en cours dans de nombreux magasins.

 En effet, après plusieurs remontées du terrain, il semble que de nombreux responsables exploitation et de responsables services appliquent une nouvelle règle pour les départs en congés des employés conseillers services clients.

 Le nombre de départs simultanés maximum de deux est appliqué sur l’ensemble des équipes CSC.

 Or, cela se traduit automatiquement par des contraintes supplémentaires qui bloquent des demandes légitimes de départs en congés et cela de façon brutale et sans la moindre possibilité de négociation « Non la règle c’est deux ensemble et pas un de plus !!! »

 

La CGT peut concevoir que certaines semaines sont difficiles en termes de possibilités de départs.

 

Dans ce cas-là, le règlement prévoit que les délégués du personnel du site sont seuls habilités à arbitrer les conflits.

 Cette nouvelle procédure découle d’une recherche de facilité en management inadmissible.

 Pour rappel, le métier de CSC devait aussi permettre au-delà de la flexibilité apportée aux deux services, une flexibilité pour les départs en CP.

 Mais aujourd’hui nous constatons malheureusement l’inverse.

 La CGT signataire de l’accord CSC ne peut concevoir que certains encadrants de permettent d’en dénaturer le sens.

 Comme l’indique l’accord « le directeur du magasin s’assurera que la mise en œuvre des plannings, la gestion des demandes d’absence et la conduite des entretiens d’activité soit réalisées dans l’intérêt du bien-être des collaborateurs…>>

 Nous sommes dans ce cas, bien loin du bien-être des collaborateurs et de l’aventure humaine promise par l’entreprise.

 

La CGT demande que cessent immédiatement les annonces faites par les encadrants sur le nombre de départs maximum des CSC en congés.

 Les demandes de CP doivent être organisées par les responsables, arbitrées par les DP.

 Organiser ne veut pas dire imposer.

 

Toutes les options doivent être mises sur la table, avant d’annoncer au salarié qu'il ne pourra pas partir en vacances comme il le désirait.

 Nous rappelons ici que le bien-être et vitalité passe aussi par des CP en accord avec sa vie personnelle.

 

Merci de nous faire remonter, via l’ensemble de nos canaux de communication, toute situation similaire au sujet que nous venons d’aborder.

 

23 Octobre 2017


CSC un complément de salaire non ! Un échelon supplémentaire oui !

Après certaines visites magasins, il est apparu que de nombreux conseillers services clients étaient toujours avec un complément de salaire sur leur fiche de paye au lieu d’un échelon supplémentaire accordé lors de la signature de l’avenant.

Nous voulons rappeler ici que l’accord d’entreprise conseiller service client indique clairement que le personnel conseiller service ou hôtesse de caisse, volontaire et ayant signé le nouvel accord d’entreprise, obtient automatiquement un échelon supplémentaire.

Bien évidemment un complément de salaire ou un échelon supplémentaire donne le même salaire au final, néanmoins, en termes de retraite et d’imposition cela n’est pas pareil.

Alors si vous êtes dans ce cas, si vous n’avez pas encore votre échelon malgré la signature de l’avenant CSC, contactez-nous rapidement car la CGT veille et veillera toujours à ce que les accords d’entreprise qu’elle signe soit appliqués correctement.

25 septembre 2017


Techniciens en Magasin, la direction revient enfin à la table des
négociations !

En 2010, il y a donc 7 ans, la direction nous avait convié à une paritaire
techniciens Dépanneurs.
A l’époque, la CGT avait beaucoup d’idées constructives pour enfin
dépoussiérer l’accord Techniciens Dépanneurs qui datait du siècle dernier.
A l’issue de cette première réunion pleine de promesses, où tous autour de
la table étaient d’accord sur l’urgence de remettre à plat cet accord, la
direction nous avait indiqué « nous reviendrons vers vous très prochainement ! ».
Comme convenu, la direction est revenue… 7 ans plus tard ….
Et oui 7 ans, mais entre-temps la direction n’a pas « chômé ».


En 2010 les magasins Boulanger comptaient environs 500 techniciens dépanneurs, la direction avait déjà  lancé Bdom (2006), pour lequel tous les Techniciens Magasins appelés « point expert Micro » ont dû arrêter leur activité d’installation des « premiers contacts », formations aux clients…
Bref un coup d’arrêt brutal de leur activité.
Puis, est venu le temps du projet Solvarea, projet pour lequel à nouveau les techniciens magasins ont dû faire « de la place »et devaient se sacrifier, pour « fournir » de l’activité aux centres.
Bien évidement à chaque fois le « quota » du technicien qui, représente la partie variable de son salaire, s’en trouvait réduit comme peau de chagrin...

Entre temps les conseillers services étaient sollicités pour
effectuer de plus en plus de filtrages « techniques » (restauration,
formatage…)Et de voir apparaitre ainsi des contrats de « Technicien Comptoir » ou « Conseiller Service Technique » et de croiser dans certains magasins, sans techniciens, des employés Conseillers Services auxquels, on leurs demande d’effectuer des tâches techniques sans la moindre formation, le moindre outillage et bien sûr sans la moindre contrepartie financière…


Bref, la filière techniciens magasin s’est retrouvée dans un étau.
Aujourd’hui en 2017 les techniciens magasin représentent un peu moins de 200salariés qui sont d’ailleurs les seuls à avoir un statut « d’ouvriers » dans notre enseigne.

Les quotas Techniciens sont quasiment inexistants, les derniers techniciens à faire encore du quota le font au prix d’une lourdeur administrative incroyable.
Passant plus de temps à clôturer leurs dossiers qu’à effectuer les
réparations…
Nous nous inquiétons réellement sur l’avenir de cette profession au combien différenciant pour notre enseigne de toute les autres Enseignes concurrentes.


Qui propose encore dans certains magasins la possibilité à nos clients de parler avec des techniciens avant leur achat, pendant leur achat et bien sûr après leur achat ?
Seul Boulanger le fait et il doit le faire encore !
Nombre de clients nous choisissent aussi pour la proximité avec nos
techniciens.
A la veille de la nouvelle négociation sur la filière techniciens, la CGT
réaffirme haut et fort que notre enseigne se doit de garder ses techniciens qui font partie de la culture de services Boulanger.
Nos revendications sont claires :

Ouverture de la filière au niveau échelon 4/1, 4/2, 4/3 pour accompagnerdans le temps l’expérience, l’expertise et les connaissances de nos techniciens mais aussi donner de l’avenir à nos CS et CSC désirant évoluer dans cette filière .
Mise en place d’un réel plan de formation à la hauteur des exigences dumarché de 2017.
Mise en place d’une prime simple et efficace sur les réparations et
interventions effectuées par nos techniciens.
Les techniciens, aussi, contribuent à la satisfaction des clients , et à ce titre doivent faire partie des personnels récompensés par la prime NPS.

Remise en état du mobiliers et outillages des postes techniciens dans les magasins.
Et bien sur une mise en place d’une véritable politique commerciale pour développer l’activité réparations et services de proximité.

Les négocitations commencent, comptez sur notre détermination  !

Jean Luc Racine

Délégué Syndical Central CGT UES BOULANGER

  

10 janvier  2017


La CGT Boulanger dans la rue suite à l’appel national à la grève et la mobilisation le 12 septembre 2017, afin de protester contre la Loi Travail XXL, qui s’annonce dangereuse pour les salariés et leurs représentants.

Nous défendons vos droits et celui de vos enfants !

Rejoignez-nous !

5 septembre  2017


Livreurs Boulanger, une reconnaissance injuste de la Direction !


Boulanger dans le cadre de sa stratégie a mis l’accent sur la satisfaction
des clients, mais également sur le bien-être et la vitalité des
collaborateurs.

Grâce à l’implication historique de l’ensemble du personnel, qui développe
une énergie considérable pour choyer les clients, Boulanger ne cesse de
croître et est devenu un acteur incontournable sur son marché.

Concernant le bien être des collaborateurs, Boulanger a lancé en 2017 ‘’ Le
Monde plus Soft ‘’.

Nous n’y sommes pas encore !

En effet, la catégorie de personnel en charge des livraisons est soumise à
une charge de travail considérable, et nous incluons également, les
Equipiers clients qui sont amenés à préparer les tournées de livraisons.

Plusieurs programmes, destinés à faciliter l’expérience d’achat des clients
chez Boulanger, ont été développés par la Direction, avec sur certains
sites, aucune prise en compte de l’aspect humain des livreurs :

Amplitude horaires affolantes…

Heures supplémentaires qui se multiplient… Les clients doivent être livrés à
l’heure où ils le souhaitent, disposant beaucoup trop de l’organisation et
de la vie privée des livreurs…

Les livreurs sont une des seules catégories d’employés aujourd’hui chez
Boulanger qui savent à quelle heure débute leur journée de travail sans
jamais réellement savoir à quelle heure ils vont la finir, et pour un
salaire…

Aucune prise en compte et respect du programme de planification des
tournées, qui existe bel et bien, et qui est destiné à l’origine à éviter
toutes dérives…

Trop peu de respect de l’aspect physique de ce métier très exigeant…

Des heures de transport pour acheminer le matériel aux clients, qui occupent
parfois une majeure partie de leur temps de travail quotidien, sans prise en
compte des temps d’installation, de préparation des tournées, ou tout
simplement de relations privilégiées servant à terminer une vente et
fidéliser le client à Boulanger…

Des tournées de livraisons chargées au point que les camions destinés sont
devenus trop petits, et une utilisation réglementaire dangereuse…

Une préférence inacceptable dans certains magasins, aux services de
livraison externes, comparés à la qualité de service des livreurs Boulanger…
Certains directeurs n’hésitant pas à licencier des équipes de livreurs
internes pour les remplacer, comme par hasard, par des équipes externes !!!

C’est le monde plus soft, oui mais toujours pour les clients…

Des effectifs qui n’augmentent pas alors que l’amplitude horaire de
livraison chez les clients a considérablement évolué …

Aucune erreur n’est tolérée. Ni sur l’installation des produits, ni dans les
rapports litigieux qui peuvent exister avec certains clients, ni dans la
fatigue accumulée, ni dans les produits qui peuvent être abimés du fait
d’une charge de travail considérable, ni dans certains accidents qui peuvent
intervenir, etc…

Des qualifications qui ne correspondent pas toujours à la mission effectuée…

Les livreurs doivent être au TOP, avec une considération à minima d’une
partie de la hiérarchie.

C’est le monde plus soft !!!

Mais où est donc ce fameux programme de la Direction destiné à faciliter
l’expérience d’achat des clients qui souhaitent être livrés, tout en
facilitant et respectant le métier des livreurs ?

STOP ! La CGT BOULANGER interpelle la Direction pour qu’elle reconnaisse
enfin que les livreurs ont largement contribué à la croissance voulue de ces
dernières années.

Nous voulons que chaque équipe de livreurs soit reçue, écoutée par les
responsables des Ressources Humaines régionaux, afin que leurs besoins,
leurs inquiétudes voire leur souffrance soit prise en compte.

Les Organisations syndicales doivent être reçues très rapidement par la DRH
sur ce sujet, afin qu’un réel programme des Livraisons soit présenté,
débattu, et négocié.

Enfin, la CGT exige que stoppe immédiatement tout remplacement d’une équipe
de livraison interne par un prestataire externe. Sauf, pour les horaires de
livraison exceptionnels ou hors planning habituel.

Chaque nouvelle équipe de livreurs doit être un service interne.

Enfin, les effectifs doivent être revus à la hausse.

Pour un service client sans couture, Boulanger doit viser le dernier
centimètre de bien être des livreurs !

Jean Luc Racine

  

05 Septembre  2017


Loi travail XXL

Moins de droits pour les salariés, plus de pouvoirs pour les employeurs

Le gouvernement vient de nous proposer dans la droite ligne de ses prédécesseurs une énième réforme du droit du travail partant du principe que le travail est un coût, alors qu’il produit les richesses. Cette loi va se rajouter aux précédentes sans même les avoir évaluées et pour cause, elles sont inefficaces.

Pourtant, lors de sa première rencontre avec le gouvernement, la CGT a fourni 14 pages de propositions pour que notre pays engage de réelles réformes afin de sortir de cette spirale qui nous enfonce dans un chômage de masse. 
Pour rappel, si on comptabilise l’ensemble des catégories A-B-C-D et E, ce sont plus de 6,6 millions de chômeurs inscrits à Pôle Emploi que comptera la France, auxquels s’ajoutent des millions de précaires, de salariés à temps partiel imposé, dont une majorité de femmes et de jeunes.

Le code du travail permet que les salariés aient les mêmes droits, il n’a jamais permis de créer des emplois car ça n’a jamais été son rôle ! Monsieur GATTAZ Yvon (le père) annonçait déjà en 1986 la création de 471 000 emplois grâce à la suppression administrative de licenciement, le fils portait un pin’s (« 1 million d’emplois ») il y a deux ans ! On connaît le résultat !

Le gouvernement vient de confirmer les craintes que nous pouvions avoir.

D’abord, il va encore accentuer l’inversion de la hiérarchie des normes qui s’était engagée dès 1984 et qui n’a cessé de s’intensifier au fil des différentes réformes depuis 40 ans.

La primauté de l’accord d’entreprise, même moins favorable, sur l’accord de branche va s’accentuer dans la plupart des domaines (primes, indemnités diverses, congé de maternité, etc..). La primauté de l’accord de branche sur la loi s’élargit considérablement (ex : durée et renouvellement des CDD, contrats de chantiers).

Cette mesure n’aura qu’un seul effet : l’amplification du dumping social, en accentuant la mise en concurrence des PME et PMI et de leurs salariés. Cela va aggraver l’insécurité sociale de ces entreprises toujours plus placées sous l’emprise des donneurs d’ordres.

A l’heure où la souffrance au travail, les maladies professionnelles et accidents du travail et le désengagement de nombreux salariés s’intensifient parce qu’ils ne peuvent effectuer un travail de qualité, le CHSCT, qui est l’outil essentiel pour aborder les questions autour du travail réel va être fusionné avec les autres instances représentatives du personnel.

La négociation est un droit des salariés exercé par leur syndicat. Le patronat vient d’obtenir une relation de gré à gré avec un salarié isolé et non protégé dans les PME/PMI. On imagine aisément comment pourront se dérouler de futures négociations.

Ce déséquilibre va être renforcé, l’employeur pouvant prendre l’initiative d’un référendum au style déjà connu « choisissez entre la peste et le choléra ».

Une étape supplémentaire dans la liberté de licencier sans contrainte est également franchie. Sont en effet instaurées les ruptures conventionnelles, collectives, contournant les règles des PSE. Ce sont encore moins de droits et de protection pour les salariés.

Enfin, pour couronner le tout, un plafond des dommages et intérêts est fixé pour les indemnités prud’homales, ce qui pourra permettre à un employeur de provisionner un licenciement et amortir l’embauche d’un jeune de qualification égale mais moins payé.

Cette loi sur le droit du travail, comme les précédentes, n’améliorera pas le chômage, va augmenter encore la précarité, développer la pauvreté comme c’est déjà le cas en Allemagne ou en Angleterre.

Le 12 septembre doit être une première riposte de grèves et manifestations à cette loi du travail XXL.

La CGT va continuer à informer partout les salariés sur les conséquences très concrètes qu’ils pourraient subir dans leurs entreprises.

La CGT va engager le débat avec eux pour d’autres propositions, comme l’augmentation de salaire, une autre répartition des richesses (41 milliards de dollars versés aux actionnaires au 2ème semestre 2017 mettant la France première des pays européens), la réduction du temps de travail, des droits attachés à la personne et transférables d’une entreprise à l’autre, une sécurité sociale professionnelle permettant de ne plus passer par le chômage après la perte d’un travail.

La CGT fera tout pour unir les salariés, les travailleurs indépendants, les privés d’emploi, les retraités, les jeunes lycéens et étudiants avec l’ensemble des autres organisations syndicales afin de gagner des réformes de progrès social.



  

21/07/2017



LA NOTE NPS RETENUE POUR LE CALCUL DU BONUS EQUIPE VENDEURS ET LE BONUS SATISFACTION CLIENT


 Le NPS est aujourd'hui retenu dans le calcul de variable de nombreux métiers

:

* dans le Bonus Equipe vendeurs, c'est l'un des 4 critères proposés dans

l'accord de rémunération vendeur depuis septembre 2016

* dans le Bonus Satisfaction Client, mis en place en mai dernier suite à la

signature de l'accord sur le métier des Équipiers Clients

* toujours dans le Bonus Satisfaction Client, qui a été étendu, à compter de

juillet, à l'ensemble de la population du back office (hors technicien)

suite à la signature des NAO

Afin de prendre en compte la note consolidée du mois échu, qui est connue au

15 du mois suivant (un client qui effectue un achat en fin de mois, a 15

jours pour répondre au questionnaire), nous allons, à compter de la paie de

juillet, décaler le versement des bonus liés à la note NPS du mois M sur la

paie du mois M+1.

Exemples :

* Le BEV et le BSC qui seront versés sur la paie de solde de juillet

seront calculés à partir du NPS de juin consolidé au 15 juillet.

* Sur la paie de solde du mois d'août, c'est la note NPS de juillet

(consolidée et connue au 15/08) qui servira aux calculs des bonus.

Le commentaire de la CGT BOULANGER :

Ce qu’il faut surtout comprendre, et retenir :

1. Il n’y aura pas d’interruption ou de report d’un mois à un autre de

la rémunération éventuelle des Bonus Equipe Vendeurs, et Bonus Satisfaction

Client ( Equipiers clients et population Back Office hors techniciens )

2. Pour le mois de Juin 2017 et le salaire associé, la note NPS retenue

pour le paiement éventuel de cette prime variable, sera celle au 30 Juin

2017. Pour le mois de Juillet et le salaire associé, la note NPS retenue

pour le paiement éventuel toujours de cette prime variable, sera celle au 15

Juillet. Puis pour les mois suivants, rythme retenu au 15 du mois. ( Mois

d’Août, note au 15 août, Mois de Septembre, note au 15 septembre, et ainsi

de suite … )

20/07 2017



Techniciens des magasins Boulanger Danger!!!


 Vous êtes nombreux à nous alerter sur votre situation professionnelle. Des

propositions inacceptables vous sont parfois faites, voire imposées par

votre hiérarchie ! Changement de poste, mutation, licenciement à l’amiable,

etc…Alors même que votre métier contribue à la satisfaction des clients !

Vous êtes en droit de toutes les refuser, et de vous renseigner auprès de la

CGT BOULANGER…

Que signifie ces manœuvres d’une partie de la Direction, alors même qu’une

date de négociation d’un nouvel accord d’entreprise pour cette catégorie de

salariés est prévue en Septembre 2017 ?

11/07 2017


La CGT ne sera pas signataire de l’avenant N°

3 à l’accord d’entreprise sur les Animateurs Commerce.

Cette décision s’appuie sur plusieurs éléments :

* Le sondage soumis à l’ensemble de nos adhérents a recueilli une

grosse majorité d’opposants à une signature de la CGT

* La CGT dés la création de ce métier, a toujours remis en cause, non

pas la légitimité de ce métier, mais l’accés non systématique à un statut

d’Agent de Maîtrise ou Cadres de cette catégorie de salarié.

* Une partie du calcul du Bonus AC calculée sur le taux de détention

des FF/NN, est un élément que les AC ne maîtrisent pas totalement, en

particulier sur le fait qu’un produit peut-être déclaré par la centrale en

FF/NN, du jour au lendemain, sans aucune concertation avec les AC, sans

prise en compte des stocks atypiques d’un magasin à un autre, etc.. Ainsi le

taux de détention des FF/NN peut être alourdi subitement et impacter la

rémunération des AC.

20 06 2017


COMPTE RENDU COMMISSION DE SUIVI REMUNERATION

VENDEURS 20 Juin 2017

Les Organisations syndicales étaient réunies ce jour dans le cadre d’une commission de suivi du nouvel accord de rémunération des vendeurs.

Les chiffres présentés par la DRH, au cumul 5 mois 2017, montrent GLOBALEMENT, que les magasins concernés par des seuils à 1200 € , 1300 €, voire 1400 €, s’en sortent mieux que les magasins concernés par un seuil à 1500 €. Ces derniers, sont également GLOBALEMENT, les perdants de cette nouvelle rémunération.

Il a été demandé à la DRH, de baisser les seuils de ces 18 magasins à un seuil de 1400 €.

La CGT demande que l’ensemble des factures soumises à une prime vendeur, soient intégralement réservées aux vendeurs. Exemples, pas de factures qui sont affectées à des RU, pas d’équipiers clients qui vendent, etc…

Enfin, la CGT a demandé plus de logique dans le montant des primes.

Les organisations syndicales ont demandé quel critère sera utilisé à compter du 01 Juillet, pour le bonus équipe.

Pour le moment, la DRH s’oriente vers toujours le critère de la satisfaction client, au regret de la CGT.

  

28 05 2017


COMPTE RENDU FILIERE ANIMATEUR COMMERCE 28 Avril 2017

L’application du récent accord d’entreprise sur les Animateurs Commerce est en place depuis Septembre 2016. La CGT n’avait pas signé cet accord car elle ne trouvait pas le choix de la progression de part de marché accessoire comme étant un critère valable et surtout injuste. Au regard des premiers mois d’application, une grosse majorité des Animateurs Commerce sont payés sur la garantie qui a été prévu durant 1 an.

Fort ce constat, la DRH a reconnu que le nouveau système ne fonctionnait pas, et qu’il fallait prévoir une nouvelle construction de la rémunération des AC.

La CGT, en début de réunion, a demandé à la DRH de préciser si elle souhaitait bien garder la disposition visant à donner la possibilité des AC d’accéder à un statut d’Agent de Maîtrise, pour ceux qui ne le sont pas encore. La DRH a affirmé qu’elle gardait bien cette disposition, la CGT a réaffirmé qu’elle souhaitait que TOUS les AC accèdent systématiquement à ce statut, par le biais des dispositions du futur accord.

La CGT a proposé d’Intéresser l'AC à la valorisation des ff/nn (en poids sur valeur de stock ou en chiffre d'affaire). Des dispositions devant être inscrites pour la différenciation entre différents typologie de magasin.

La DRH indique vouloir travailler le projet d’accord, sur la base de 2 critères de construction de la rémunération, la fraicheur de stock des FF/NN, et l’objectif de marge en euros par magasin.

Enfin, la DRH annonce vouloir réfléchir également à la proposition de la CFTC, d’une rémunération variable totale des AC construite sur le NPS du magasin.

Une prochaine réunion est programmée le 02 Juin 2017.


                                                                                                            

  

25 avril  2017


NAO 2017, réunion du 27 Avril :

La CGT souhaite, depuis plusieurs années,

une prime mensuelle pour tous les salariés du Back-office, notamment, parmi ses nombreuses revendications. Demain, lors de la 3ème réunion NAO de l’année, nous défendrons une fois de plus cette demande, et toutes les autres exposées précédemment "

  

24 05 2017


La CGT Boulanger, ne sera pas signataire de l’accord d’entreprise portant sur le métier d’Equipier Client de Mars 2017.

Les explications sur notre positionnement :

La CGT a souhaité aborder cette longue négociation en s’appuyant sur plusieurs principes ou revendications, issus de discussions avec les Employés Libres Service en poste, et nos syndiqués.

  • En tout premier point, la CGT a informé la direction bien avant le début de cette discussion paritaire, sur une problématique en termes d’effectif insuffisant dans de nombreux magasins. La charge de travail s’alourdit, comme par exemple la progression très significative des inventaires tournants à réaliser et des emportés WEB des clients venant en magasin.
  • Dès le début des négociations sur ce thème, nous avons proposé une organisation de ce métier, axée sur des tâches communes de gestion du flux produit et de merchandising en bas de filière, puis une spécialisation sur un seul des deux métiers à partir du niveau échelon 2/3. Nous soulignons que cette organisation est fortement souhaitée par de nombreux ELS en poste, ayant connu une organisation en partie semblable, par le passé.
  • Nous voulions également que les tâches de ‘’mise en rayon des produits et mise en avant de l’offre commerciale’’ soit clairement définie et précisée dans l’accord, afin de mettre fin à certaines tensions ou incompréhensions entre vendeurs et ELS, défendant bien naturellement chacun, leurs intérêts.
  • Enfin, nous avons été la première organisation syndicale à revendiquer, lors de ces négociations,  une prime ou rémunération complémentaire mensuelle que l’on pourrait nommer ‘’Prime Back Office’’, sur 3 axes. Rémunération variable mensuelle sur le Chiffre d’affaire WEB avec retrait en magasin, rémunération variable mensuelle sur la qualité des inventaires tournants, et rémunération fixe sur la période de fin d’année.

Sur le problème récurrent d’effectifs insuffisants, qui n’est aucunement une spéculation de notre organisation syndicale, mais bien une inquiétude dégagée des discussions avec les ELS, nous déplorons qu’aucun engagement d’amélioration n’ait été pris sur l’accord d’entreprise.

S’agissant de l’organisation du métier, avec séparation des spécialisations à compter du niveau / échelon 2/3, nous reconnaissons que nous avons été entendus par la Direction, mais trop partiellement, en fixant cette séparation à un niveau de qualification trop élevé.

En ce qui concerne la définition précise des tâches des ELS, nous ne comprenons pas pour quelle raison, 2 réunions en début de négociations ont servi à identifier le nombre exceptionnellement conséquent de tâches pour ce personnel alors qu’organisations syndicales et Direction étaient parfaitement en accord sur la nécessité absolue d’alléger ce nombre et de les rendre plus lisibles, pour en fin de compte et à la lecture finale de l’accord, que cette intention ne soit pas clairement retranscrite. Pour preuve de cette incompréhension, le paragraphe ‘’Raison d’être du métier’’ et le rajout d’une tâche supplémentaire conséquente sans contrepartie, en l’occurrence la livraison, au volontariat.

Enfin, nous reconnaissons également que le déploiement innovant d’une prime complémentaire mensuelle pourrait-être de nature à motiver les salariés concernés, et à lutter contre la précarité de certains collaborateurs. La CGT est depuis toujours, profondément opposée à l’utilisation du NPS. Ce critère choisi, est pour notre organisation syndicale un élément de mesure de la satisfaction client qui n’existait pas avant, et qui n’a pas empêché les salariés, tous confondus, de s’employer à ce que Boulanger devienne l’enseigne préférée des clients sur notre marché. Nous considérons que l’infantilisation des collaborateurs avec l’utilisation de ce système, sera un effet négatif dans le temps, cumulé à des réflexes de critiques qui deviendront de plus en plus systématiques de la part des clients. Ce critère du NPS choisi revêt, de plus, un caractère discriminatoire envers les autres populations de salariés en magasin, qui n’ont pas la possibilité de percevoir une prime complémentaire mensuelle. Ensuite, l’équipier client a-t-il réellement une incidence directe sur les résultats du NPS, s’il lui arrive de renseigner un client, de veiller à la tenue du magasin, il n’est pas déterminant dans les commentaires de ces clients, nous trouvons injuste l’attribution aléatoire d’ une éventuelle prime dont il n’est pas directement responsable et qu’il aura certaines difficultés à faire évoluer. Nous trouvons donc, que nos propositions de rémunération complémentaire, étaient plus cohérentes.

Enfin, nous regrettons que les Equipiers Clients Experts, n’aient pas la possibilité d’accéder au statut d’Agents de Maîtrise dans leur fonction.

La CGT est certaine qu’avec une réelle prise en compte de nos demandes, nous aurions pu aboutir à une ratification de l’accord d’entreprise sur le métier d’Equipier Client, mais en l’état, La CGT Boulanger, ne sera pas signataire.

Par ailleurs, Il est a noté que de nombreux ELS attendent le nouvel accord, pour que leur supérieur valide une éventuelle augmentation d’échelon, dans le cadre des EA 2017. Ce qui pour la CGT Boulanger est une complète injustice. Nous demandons donc de nouvelles négociations sur ce thème très rapidement.


                                                                        Jean-Luc RACINE

                                    Délégué Syndical Central CGT UES BOULANGER

                                                                                                            

  

05 04 2017

  Représentativité 2017


Les chiffres de la représentativité sont tombés et malgré les attaques du Gouvernement et du patronat favorisant l'implantation d'organisations syndicales réformistes, la Fédération CGT Commerce, Services et Distribution reste la l ere


Représentativité des organisations syndicales


CGT


22,46 %


CFDT


21,68 %


FO


18,67 %


CFTC


14 %


UNSA


6,76 %


CGC


6,13 %


Bien que contrastés suivant les branches, les résultats de la représentativité mettent en évidence l'abstention et une baisse de l'audience pour la plupart des organisations syndicales.


Quand nos élus sont présents dans les entreprises, les magasins, les agences ou les services à une élection, ils enregistrent le plus souvent de meilleurs résultats que d'autres syndicats accompagnateurs de la régression sociale.


Plus que jamais la Fédération réaffirme son attachement au syndicalisme de classe issu de l'action et de la lutte des travailleurs contre l'exploitation.


  

01 04 2017



 Accord d'entreprise "EQUIPIER CLIENT"

 

 L’accord d’entreprise ‘’EQUIPIER CLIENT’’, issu des négociations entre les organisations syndicales et la DRH est disponible ici


Celui-ci, sera soumis au traditionnel sondage auprès des adhérents de la CGT BOULANGER, dés Mardi 04 Avril, pour un positionnement favorable ou défavorable de la CGT BOULANGER.

27 03 2017



 Compte Rendu Réunion NAO 24 Mars 2017

 

 Premières propositions de la DRH :

- augmentation de la grille et des salaires réels de 0,8 % au 01 Juillet 2017. Enveloppe de 0,8 % pour les cadres.

- Prime annuelle à 90 %

- Mise en place d’une possibilité de versement mensuel à destination du plan épargne entreprise, sur une période de 10 mois, prélevé sur salaire à partir de 10 €.

D’autres points sont à l’étude par la DRH pour d’éventuelles annonces lors de la prochaine réunion le 27 Avril.

La CGT a insisté également sur la nécessité absolue d’une prime Back Office, souhaite que les points à l’étude se transforment en réalité, voire s’améliorent, et sur le besoin d’aller plus loin sur les augmentations de salaire et de la prime annuelle. A l’évidence, nous tenterons également jusqu’au bout des négociations de faire avancer la DRH sur plusieurs de nos revendications disponibles sur nos réseaux de communication.

Dossier à suivre le 27 Avril…

28 03 2017


REUNION NEGOCIATION PARITAIRE ELS

 27 mars  2017

 Suite de la réunion du 10 Février 2017 :

Tout d’abord, la CGT souhaite une appellation différente de ce corps de métier.

La CGT insiste sur le fait que la mission de ‘’livraisons ponctuelles’’ devait être supprimée du texte.

La DRH propose d’isoler cette mission du reste des tâches à accomplir selon son niveau de qualification, en y incluant une notion de volontariat par exemple.

La CGT a demandé que le niveau de qualification et de rémunération soit intégralement maintenu lors de la mutation d’un autre métier vers celui d’ELS. Encore une fois, l’ancienneté doit être reconnue. La DRH ne retient pas ce point, mais assure entreprendre une réflexion à ce sujet.

La CGT souhaite redonner du dynamisme à la fonction d’Adjoint Stock, en leur donnant accés systématiquement au statut d’Agent de Maîtrise. Pas de réponse favorable de la Direction sur le statut d’AM, mais création d’un niveau/échelon 3/3, par rapport à l’ancien accord, et nécessité d’être dominant sur une seule spécialité du métier pour y accéder, soit le merchandising, soit la gestion du stock.

La CGT demande quelles sont les formations qualifiantes dans le plan de formation Boulanger susceptibles de permettre la progression automatique d’un échelon d’un Equipier Client. La Direction reconnait que c’est un sujet à travailler, et que le plan de formation actuel ne permet pas cette possibilité, la CGT, néanmoins insiste car correspond à la loi sur la formation en vigueur depuis le 1er janvier 2015.

La Direction propose une rémunération variable selon le dispositif mensuel suivant :

Cette rémunération complémentaire sera basée sur l’atteinte d’objectifs sur le NPS, avec une dimension collective.

Par exemple, objectif national qui sera identique pour tous les sites, d’un NPS à 45, le magasin X obtient 45 au mois de Juin, chaque Equipier Client ( ou ELS ), obtient une prime sur ce mois de 50 € bruts. Le calcul est refait chaque mois selon la même méthode avec un objectif NPS qui reste identique toute l’année. Deuxième exemple, toujours avec un objectif national d’un NPS 45, le magasin X obtient en Juillet 43 ( soit – 2 pts), la prime maximale de 50 € bruts mensuels par equipier client est réduite de 20 %. ( - 5 pts sur le NPS, - 50 % de prime, etc… ). Enfin, cette prime est proratisée au temps hebdomadaire et de présence ( accidents du travail, congés, etc…)

La CGT a indiqué qu’elle souhaite bien mieux une prime basée sur la qualité des inventaires tournants, ou sur le CA Web avec retrait en magasin, comme demandée précédemment lors de la négociation. Ces primes seraient plus liées au métier d’Equipier Client.

De plus, les Equipiers Clients sont censés être la catégorie de personnel qui sont le moins en contact avec la clientèle au quotidien. Egalement, fixer chaque année un objectif de NPS pour le calcul de cette rémunération mensuelle variable est discriminatoire entre les sites. Chaque magasin n’a pas les mêmes chances d’obtenir un bon NPS.

Enfin, la CGT indique que les Organisations Syndicales qui signeront cet accord n’auront pas la main sur la fixation de l’objectif NPS annuel.

Un accord définitif sera envoyé par les DRH durant les prochains jours, pour positionnement des Organisation Syndicales.

La CGT soumettra à ses adhérents un sondage pour décider et valider sa  position officielle à prendre.

  

10 Février 2017


REUNION NEGOCIATION PARITAIRE ELS 10 Février 2017


Première réflexion, la DRH propose de modifier l’appellation des ELS par ‘’ Equipier Clients ‘’

La CGT souhaite, dès le préambule, enlever du corps de texte, toute notion d’excellence relationnelle, souhaitée par la Direction. Egalement, nous souhaitons une écriture différente de la proposition de la Direction qui définit l’ELS en tant que ‘’Véritable colonne vertébrale sur laquelle chacun peut s’appuyer’’. Nous voulons retirer le terme ‘’sur laquelle chacun peut s’appuyer ‘’.

Concernant la liste des équipements de protection individuels obligatoires dans chaque site, proposée par la Direction, la CGT souhaite inclure dans le texte une date bûtoire pour équiper chaque magasin et une obligation de renouvellement nécessaire.

De plus, la CGT exige que ne soit pas développé un système d’organisation des plannings avec répartition des tâches. ( listes de tâches distribuées au matin avec parfois même signatures par les ELS en face des tâches effectuées ). L’accord d’entreprise définira déjà largement les tâches selon les niveaux/échelons occupés.

La CGT a demandé que la DRH prenne un engagement d’embauche sur ce métier, pour pallier le manque d’effectif.

Nous demandons également, que dans le cas d’un poste d’ELS qui deviendrait vacant, celui-ci sera proposé prioritairement à un collaborateur livreur, si celui-ci est volontaire pour occuper ce poste.


La CGT a souhaité que le personnel expert dans ce métier ELS, puisse évoluer dans cette filière vers un statut d’agent de maîtrise au niveau/échelon 4.1.

Nous souhaitons également que la définition des différentes tâches de remplissage des linéaires soit clairement définies, une bonne fois pour toutes.

Concernant la définition des tâches, nous avons souhaité que les tâches de livraisons même ponctuelles ne soient pas inscrites dans l’accord entreprise ELS.

La négociation continuera le 27 Mars, lors de cette future réunion, la CGT défendra ses propositions, notamment celles en terme de rémunération complémentaires.

Dossier à suivre…

  

29 Janvier  2017


COMPTE RENDU REUNION DIRECTION GENERALE, DRH, DIRECTION OPERATIONNELLE .


Comme chaque année, la CGT a été reçue par Etienne Hurez, Hervé Boisse et Emmanuel Deschamps, comme les autres organisations syndicales, afin de nous entendre sur nos revendications, la stratégie de l’entreprise, dresser un bilan de 2016, et les orientations des uns et des autres en 2017

Bien évidemment, la CGT a appelé la Direction à prendre beaucoup plus en considération les remontées du terrain qui nous sont faites, sur de nombreux sujets.  Nouvelle rémunération et encaissement imposé, des vendeurs, tous deux rejetés par la CGT, mais également grosse attente des ELS, des techs magasins, inquiétude des Hôtes/ses de caisse, sur leur avenir, le déploiement du 22 L pour les livreurs, la logistique des entrepôts inadaptée, en terme d’organisation et d’emplois, parfois, la surcharge de travail ressentie également au HUB, SOLVAREA, etc, etc…

Car, l’esprit général que nous avons voulu donner à cette rencontre et à ces discussions, c’est que dans la triple stratégie de l’entreprise, nous constatons que tout est misé sur la satisfaction des clients ( avec ses débordements managériaux constatés par endroit ), et sur la croissance et la rentabilité de Boulanger, mais beaucoup moins sur le bien être et la vitalité des collaborateurs. Nous souhaitons, en 2017, un réajustement urgent de ce dernier élément de cette stratégie, vers le haut, pour que la confiance soit redonnée ou maintenue selon les sites aux salariés, que ceux-ci sentent leurs paroles et leur action au quotidien, autant reconnus que la fidélité cherchée de nos clients. Boulanger est devenue une grande entreprise, un acteur indispensable du marché, grâce à l’investissement au quotidien, de chacun, il s’agit de se le dire très souvent en 2017.

Nous ne voulons plus d’une utilisation dévoyée du NPS à la charge des salariés, de progressions de carrière gelées, de surcharge de travail sans cesse grandissantes, de variations de primes (vendeurs et PP par exemple ) incomprises et injustes, et de filières métier qui ne progressent pas, ou qui ne sont pas renégociées à temps.

10 janvier  2017

Entrepôt national Henin Beaumont, une sortie de conflit bénéfique pour les salariés Boulanger



A l'initiative de la CGT, les salariés Boulanger de l’entrepôt national d'Henin Beaumont ont entrepris une action de blocage, ce lundi 09 Janvier. Durant toute la journée, les représentants de la CGT ont négocié, dans un esprit constructif, avec la Direction, en vue d'une sortie de conflit bénéfique pour les salariés et d'une reprise d'activité normale. En fin de journée, la Direction, dans un souci d'apaisement et de maintien du dialogue social, a pris deux engagements:


- Le paiement exceptionnel des heures de grève pour tous les grévistes.


- La tenue d'une réunion le 23 Janvier, en vue de travailler sur la négociation du prochain accord de PP, et de mesures favorables.


Suite à un retour positif des salariés grévistes, le blocage a donc été levé, en fin de journée.


L’action et la détermination des salariés de l’entrepôt national d'Henin Beaumont, est salué par l’ensemble de la CGT Boulanger."

Jean Luc Racine,


Délégué Syndical Central CGT UES BOULANGER


Agenda réunion de la CGT Boulanger


Ici se trouve l'agenda des réunions paritaire, CCE, commission... à l'initiative de la Drh Boulanger. Mais aussi les réunions et formations syndicales.


Si vous desirez y participer* merci de nous contacter.

*uniquement résérvé aux salariés syndiqués